LE MUSEE PERDU - Steve Berry

Surnommée "la huitième merveille du monde", la chambre d'ambre a été offerte en 1716 par le roi de Prusse au Tsar de Russie. D'abord installée au palais Catherine, près de Saint-petersbourg, elle fut ensuite dérobée par l'armée nazie lors de l'invasion de Leningrad, transporté à Körigsberg, avant de se volatiliser en 1945. Cette disparition constitue l'un des prlus frans mystère du monde de l'art. Malgré toutes les recherches des collectionneurs, historiens et chasseurs de trésors, elle n'a, en effet, jamais été retrouvée.

C'est à cette énigme que va être confrontée Rachel Cutler, juge à Atlanta, lorsque son père, un rescapé de Mauthausen d'origine russe, meurt dans d'étrange circonstances, laissant derrière lui les clés d'un secret qui l'a hanté toute sa vie. Sur les traces des oeuvres d'art volées par les nazis, Rachel va mener à travers l'Europe une quête à la fois historique, érudite et périlleuse qui va la conduire à affronter les nombreux mystères de la chambre d'Ambre.

Le père de Rachel Cutler, un russe émigré aux Etats-unis, a décidé de reprendre son vrai nom. Mais peut de temps après, il décède, suite à une chute dans les escaliers. En rangeant, ses affaires, Rachel découvre une mystérieuse correspondance parlant d'un secret ne devant être révélé sous aucun pretexte. Et si cette chute n'était pas un banal accident ? Et si son père avait été tué à cause de ce secret ?
La voilà donc partie en Europe afin de découvrir le terrible secret qui a coûté la vie à son père.

Ce livre ne fera pas partie de mes préférés de Steve Berry.
J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages (qui pour une fois ne sont pas Cotton Malone et ses acolytes) et j'ai trouvé le rythme un peu long (trop de blabla et pas assez d'action).
Le sujet de "la chambre d'ambre" m'intéressé beaucoup mais j'ai été déçue par le final. Je m'attendais à quelque chose de plus grandiose, en rapport avec la valeur inestimable de ce trésor.

Un roman très instructif au niveau historique, mais pas très captivant quant à l'histoire.